• Rire c'est risquer de paraître étourdi.
    Pleurer c'est risquer de paraître sentimental.
    Atteindre une autre personne c'est risquer l'intimité.
    Laisser couler ses émotions c'est risquer de laisser paraître son vrai soi-même.
    Parler de ses idées,de ses rêves devant les autres c'est risquer de les perdre.
    Aimer c'est risquer de ne pas être aimé en retour.
    Vivre c'est risquer de mourir.
    Espérer c'est risquer le désespoir.
    Essayer c'est risquer l'échec.
    Cependant les risques doivent être pris.
    Car le plus grand risque dans la vie c'est de ne rien risquer
    L'individu qui ne risque rien ne fait rien, n'a rien, n'est rien : il a confisqué sa liberté
    Seulement une personne qui ose prendre des risques est... LIBRE

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  • Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte crédité de 86 400 euros, mais il y a 2 règles à respecter :

    1ère règle : tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé
     le soir, vous ne pouvez pas tricher ni virer cet argent sur un autre compte, mais
    chaque matin la banque ouvre un nouveau compte crédité de 86 400 euros pour la journée;

    2ème règle : la banque peut interrompre ce jeu sans préavis, elle peut vous dire
    que c'est fini, qu'elle ferme le compte et qu'il n'y en aura pas d'autres...

    Cette banque, elle existe, vous l'avez tous, c'est la vie, le temps !
    Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86 400 secondes
    de vie pour la journée. Le soir, quand on part dormir, ce qui n'a pas
    été vécu dans la journée est perdu.

    Chaque jour, ça recommence...

    Nous vivons avec la règle n° 2 : la vie peut s'arrêter a tout moment !
    Alors, que faisons-nous de nos 86 400 secondes quotidiennes ?
    La vie est courte, même pour ceux qui passent leur temps à la trouver longue.
    Il faut profiter de la vie et des choses qu'elle nous offre. Tout peut être si vite perdu.

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  • Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un.

    Le premier jour, il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour. Il avait découvert qu'il était plus facile de
    se contrôler que de planter des clous...

    Finalement arriva le jour où le garçon ne planta pas le moindre clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et lui dit que pour ce jour, il n'avait pas planté de clou.Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement, le garçon put dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière. Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit :

    "Mon fils, tu t'es bien comporté, mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera plus jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après, lui retirer, mais il restera toujours une blessure... Les souffrances psychiques ne sont pas moins pire que les souffrances mentales... Ne l'oublie pas !"

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  • Petite exception je vais mettre un texte qui ressemble plutôt à un poème, mais je l'adore donc je vous le fais partager.

    Nous nous sommes rencontrés sur le net, il y a quelques mois.
    Nous avons appris à nous connaître, tout en restant chez soi.
    Puis, nous nous sommes envoyés des lettres, tu étais là pour moi, j'étais là pour toi.
    Nous passions des heures devant notre écran, devant nos papiers à s'écrire, à se parler.
    Une grande passion nous animait, est-ce l'amour qui venait d'arriver
    On a commencé à s'appeler, ta voix m'a fait rêver.
    Je me souviens qu'on arrêtait pas de rigoler, avec toi j'oubliais tous mes problèmes.
    Avec toi, je n'étais plus moi même.
    Tu me disais que j'étais l'homme de ta vie, tu étais heureuse et pleine de vie.
    Tu voulais fonder une famille avec moi,
    On parlait même d'une fille qu'on aurait appelé Laura.
    Tu me disais tout le temps que tu m'aimais.
    On avais les mêmes idées, les mêmes projets.
    On était pareils tous les deux, avec toi je volais dans les cieux.
    Un jour on décida de se rencontrer.
    Et là, tout s'est effondré quand tu m'as vu.
    Tu t'es mise à pleurer tu es partie, parce que j'étais noir !
    Je ne t'ai plus jamais revu, j'ai compris que tu ne m'aimais plus !


    Texte écrit par Kévin aka Fresh Life

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  • Il était une fois deux femmes qui ne s'étaient jamais rencontrées;
    l'une dont tu ne te souviens plus, l'autre que tu appelles Maman.

    Deux vies différentes dans l'accomplissement d'une seule,
    la tienne.

    L'une
    fut ta bonne étoile, l'autre est ton soleil.
    La première te donna la vie, la seconde t'apprit comment la vivre.
    La première créa le besoin d'amour, la seconde était là pour le combler.
    L'une te donna des racines, l'autre t'offrit son nom.
    L'une te procura la graine du talent, l'autre te proposa un but.
    L'une créa l'émotion, l'autre calma tes angoisses.
    L'une reçut le premier sourire, l'autre sécha tes larmes.

    L'une t'offrit en adoption, c'est tout ce qu'elle pouvait offrir...
    L'autre pria pour avoir un enfant, et Dieu la mena vers toi.

    Et maintenant, quand en pleurant tu me poses l'éternelle question :
    "De qui suis-je le fruit, Génération ou Education ? "

    Ni de l'une , ni de l'autre, mon enfant,
    Tout simplement de deux formes différentes de l'Amour.

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